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Gaude, Maria Virgo, cunctas hæreses sola interemisti.

(Tractus Missæ Salve Sancta Parens)

jeudi 14 septembre 2006

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Chez les épiscopaliens que fréquente Levada, successeur de Ratzinger,

le « mariage » d’un « évêque » et de son « partenaire »

Un « évêque » épiscopalien divorcé de 78 ans se « marie » avec un homme quatre fois divorcé

Levada et l’Épiscopalien Swing, homme de l’URI, ONU des religions

Dans un précédent message nous avons présentés des documents qui montrent les relations épiscopaliennes du successeur de l’abbé Ratzinger à la Congrégation pour la doctrine de la Foi (depuis septembre 2005), l’abbé américain Levada, de triste réputation. L’abbé Levada a effectué (avril 2003) une tournée œcuménique en compagnie du faux évêque épiscopalien Swing, lui-même très actif dans l’URI, sorte d’ONU des religions.

Un « ÉvÊque » Épiscopalien divorcÉ de 78 ans se « marie » avec son « partenaire », lui-mÊme quatre fois divorcÉ

Ces épiscopaliens américains, lointains descendants spirituels de l’Anglican Cranmer, ne connaissent plus de bornes dans l’impiété et plongent désormais dans l’immoralité. Dernier fait en date, l’affaire du « mariage » de l’évêque Otis Charles, âgé de 78 ans, avec son « partenaire », Felipe Sanchez Paris, divorcé quatre fois et  ère de quatre enfants. La « cérémonie » s’est tenue le 29 avril 2004 à l’église épiscopalienne Saint Grégoire de Nysse à San Francisco aux Etats-Unis.

Nous vivons la fin du cinquiÈme Âge de l’Eglise selon les temps de l’Apocalypse

La gravité de tels faits nous indique à l’évidence le caractère exceptionnel de la période historique que nous vivons et que les Saintes Ecritures ont désigné comme les derniers temps. Nous vivons véritablement la fin de

ce cinquième âge de l’Eglise (au sens de l’Apocalypse), commenté par le vénérable Holzhauser au XVII° siècle et inauguré par Luther à la Renaissance. Il s’agit d’une éclipse[1] sans précédent de l’Eglise, avant que, par l’intervention divine, ne vienne le sixième âge, l’Eglise de Philadelphie, temps de triomphe de l’Eglise catholique restaurée pleinement dans toute sa Tradition.

L’abbe Laguérie, instrument de l’Eglise conciliaire et promu par les medias dans une orchestration presque parfaite qui trahit les commanditaires conciliaires de l’opération

La parfaite synchronisation des médias (TF1, France 3, M6, Le Figaro, Le Monde, La Croix, La Vie,…) depuis quelques jours pour mettre en avant l’abbé Laguérie et les ex-mutins de la FSSPX, montre que se trouve un chef d’orchestre derrière toute cette propagande. Les médias du monde disent du bien des ex-mutins de la FSSPX et les font connaître. Cela révèle à quel point toute cette agitation représente une opération machiavélique de Ratzinger pour arriver à saisir la FSSPX dans les filets d’un accord, quel qu’il soit, et mettre un terme à l’oeuvre de sauvegarde du Sacerdoce catholique valide fondée par Mgr Lefebvre. Seuls les naïfs se laisseront séduire et abuser.

Depuis le 8 septembre 2006, date de l’érection de l’Institut du Bon Pasteur, l’abbé Laguérie et l’abbé Levada ont désormais le même grand patron : l’abbé Ratzinger. Les fidèles et les clercs peuvent aisément comprendre où mène le ralliement à l’Eglise conciliaire et à ses fréquentations oecuméniques. Cette fausse Eglise a pris possession de tous les biens matériels, et Ratzinger dirige une organisation aux évêques et aux prêtres sacramentellement invalides, réalité théologique FACTUELLE [2]et incontestable qu’il essaie de dissimuler par l’escroquerie du « front anti-progressiste et conservateur».

L’Institut du Bon Pasteur : une arme de Ratzinger pour forcer la FSSPX a rentrer dans un « front anti-progressiste et conservateur » lui-mÊme instrumentalisÉ dans le futur « choc des civilisations » des neo-cons amÉricains

Certains indices laissent déjà percer le futur discours de propagande des tenants du nouvel Institut du Bon Pasteur en faveur d’une alliance large (Opus Dei, Charismatiques de l’Emmanuel, Communauté Saint-Jean, FSSP, ICRS, Campos, Institut du Bon Pasteur,etc.) derrière un faux Pape. Joseph Ratzinger est déjà présenté

par l’abbé Laguérie comme « traditionaliste » et il est évident que l’abbé Lorans du G.R.E.C s’apprête à magnifier bientôt Ratzinger pour avoir « libéré la messe » après le million de chapelets du « Bouquet spirituel », décision du « Ciel » programmée pour novembre 2006[3]. Dans cette future « Union sacrée de l’Occident », caricature d’une « doctrine du Christ-Roi relookée », l’abbé Ratzinger sera présenté comme tenant tête à l’Islam, dans une situation de tension internationale Islam-Occident en voie d’attisement croissant par les Neo-cons américains, à mesure qu’approchent les élections du mid-term américaines. Cheval de Troie au sein de la FSSPX, la petite camarilla du ralliement (abbés Lorans, Schmidberger, Celier, Sélégny, etc) met tout en oeuvre pour prépare la FSSPX à rallier ce « front sacré », en signant un accord de « réconciliation » avec la « Rome des antichrists » (propre expression de Mgr Lefebvre).

Notre-Seigneur nous a dÉjà mis en garde contre les sÉductions de l’Époque des derniers temps

Ce discours rassembleur et apostat dans lequel les maçons de l’actuel Vatican (que promeut Ratzinger tel Lajolo-LAGI) voudraient piéger les fidèles de la Tradition et les clercs de la FSSPX, apparaît déjà comme l’une de ces illusions contre laquelle Notre Seigneur Lui-même nous a mis en garde lorsqu’il disait :

« Prenez garde que nul ne vous séduise. Car plusieurs viendront sous mon nom, disant : C’est moi qui suis le Christ, et ils en séduiront un grand nombre. Vous entendrez parler de guerres et de bruits de guerre, mais ne soyez pas troublés, car il faut que ces choses arrivent ; (…) Alors aussi beaucoup failliront ; ils se trahiront et se haïront les uns les autres ; Et il s’élèvera plusieurs faux prophètes qui séduiront un grand nombre. Et à cause des progrès croissants de l’iniquité, la charité d’un grand nombre se refroidira. Mais celui qui persévèrera jusqu’à la fin sera sauvé » St Mathieu, 24, 5-14

Continuons le bon combat

Abbé Michel Marchiset

Nous reproduisons ci-dessous un article américain sur ces épiscopaliens. Il se passe de commentaires.

http://www.sfgate.com/cgi-bin/article.cgi?file=/chronicle/archive/2004/04/29/BAGTN6CD4E54.DTL

THE BATTLE OVER SAME-SEX MARRIAGE
Gay bishop proves it's never too late to fall in love
With grandson in attendance, 78-year-old cleric marries same-sex partner

Rona Marech, Chronicle Staff Writer, Thursday, April 29, 2004

The ceremony lasted two hours and 45 minutes. When it concluded, Otis Charles, the world's first openly gay Christian bishop, also became the world's first bishop to wed his same-sex partner in church.

Charles, an Episcopal bishop, married Felipe Sanchez Paris before several hundred people at St. Gregory's of Nyssa Episcopal Church in San Francisco over the weekend. The bishop says he was guided by his belief that all human beings are called upon to live as fully as they can.

That same precept guided him in 1993 when, at age 67, he announced he was gay.

"The single most powerful possibility for raising people's awareness and consciousness would be when in the church relationships are being blessed," said Charles, who turned 78 on his wedding day. "When people see that two human beings want to commit their lives together and are able to do that and have the desire to do that with the blessing of God.

"My 8-year-old grandson was there, and I think of what the world will be like when young people see two people can make a deep commitment to each other, and it has nothing to do with gender and everything to do with love."

A grand total of four different clergy helped officiate the wedding, which began with drumming and ended when Charles and Paris were lifted in chairs and carried outside. The ceremony included singing, dancing and opportunities for the guests and the betrothed to give impromptu speeches. Three of the couple's nine grown children participated in the wedding, welcoming the new spouse into the family by placing a lei around his neck.

David Perry, one of the best men, read from the poem "The Truelove" by David Whyte.

"If you wanted to drown you could," he read. "But you don't."

"I could barely get through it," Perry said. "This man had lived his life in fear of drowning and now he said, 'I'm tired of drowning.' "

Charles, who served as bishop of Utah for 15 years and then president of the Episcopal Divinity School in Cambridge, Mass., was married for 42 years and has five children. He told his wife he was gay in 1976, but he didn't come out publicly until he retired 11 years ago.

For years, Charles said, he told himself it would be too hard on the diocese, on his family, on his wife. But then keeping his secret became unbearably oppressive.

"I was ashamed of myself for remaining silent when the church was involved in an acrimonious debate about the whole question of gay people in the life of the church. I couldn't live with that any longer," he said. "I came to realize that I was only going to wither and die and it would be a destructive relationship for my wife and myself."

In a letter to fellow bishops, Charles wrote, "I will not remain silent, invisible, unknown."

The Episcopal Church continues to be highly divided over the issue of gay priests and same-sex marriage. Last year, in a hotly debated election, Gene Robinson, an openly gay priest, became bishop of New Hampshire. The church had long held that it was possible to ordain gay priests, as long as they were celibate, but Robinson's election created a furor because he has a longtime partner. Robinson and Charles are the only two openly gay bishops to this day.

The question of whether to bless same-sex unions has also caused some internal strife: Though such unions aren't officially encouraged, the church has acknowledged that in some dioceses, officiating such ceremonies is common practice.

Charles and his wife ended their marriage soon after his public announcement. Nearly 70 and unsure "how to be gay," Charles moved to San Francisco. For the first year, he lived among Episcopal Franciscans and began to build a new life.

"What was nurturing was just simple things," he said. "Walking down the street seeing a rainbow flag or two men holding hands."

He directed a gay ministry. He went dancing. He had openly gay friends.

"At whatever age you come out, you have to live through whatever you've missed," he said. "Even though you're 67, you have to go through a process I associate with adolescence. Hopefully, you do it with a little more maturity and grace."

Two years ago, after some relationship fits and starts, he met Paris, 62, a retired professor and political organizer with four ex-wives and four children.

And the white-haired bishop fell in love.

"As people get older, they turn into two kinds. Some become thinner and wispier, and the lifeblood has gone out of them because they have regrets and there are some things you can't do anymore," said the Rev. Leng Lim, a friend who's also an Episcopalian priest. "Or there are people who become really alive to the moment, to the vulnerability that is there, to the love. Because they've worked through their own stuff. And Otis belongs to that second group. "

Several days after marrying, the couple took turns recounting the details of their wedding. True to form, Charles shed his bishop-like pensiveness and hopped out of his chair to sing and demonstrate a dance.

"See what I mean by energy?" said Paris, who has a habit of pausing mid- sentence to smile.

Charles is rarely at a loss for words, but reflecting on what had passed he said, "I don't think I can describe it, but I do feel different."

He touched his chest and stared at Paris for a long time.

"So," he said softly.                                                      E-mail Rona Marech at rmarech@sfchronicle.com ____________

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[1] Terme exact employé par Notre-Dame à La Salette en 1846

[2] Voir les études publiées sur le site http://www.rore-sanctifica.org

[3] Décision programmée pour novembre, juste après la fin du « Bouquet spirituel », imposture lancée par Mgr Fellay et médiatisée

largement par l’abbé Lorans du G.R.E.C., l’homme des services romains de Hoyos