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CAPITAL : Lettre ouverte solennelle des fidèles aux quatre évêques de la FSSPX

http://www.virgo-maria.org/articles/2006/VM-2006-10-10-A-00-Appel_aux_quatre_eveques_de_la_FSSPX.pdf

Qui et Pourquoi, depuis la mort de Mgr Lefebvre en 1991, a détourné la finalité surnaturelle de l’OPERATION-SURVIE des sacres de 1988, pour assigner à la FSSPX ce FAUX objectif prioritaire de la «ré-conciliation» avec la Rome conciliaire
(en fait la «ré-conciliarisation» de la FSSPX) ?

Qui a, depuis 2000, PROMU, et Pourquoi, le FAUX préalable de l’autorisation de la messe de Saint Pie V ?

Pourquoi n’a-t-on pas posé la VRAIE question du rétablissement du VRAI Sacerdoce de VRAIS prêtres, ordonnés par des Evêques VALIDEMENT sacrés selon le rite VALIDE des Saints Ordres ?

Qui a INVENTE, et POURQUOI, le faux préalable de la levée des «excommunications» ?

Pourquoi n’a-t-on pas posé la VRAIE question de l’abrogation de Pontificalis Romani INVALIDE de 1968 et du rétablissement du vrai rite de la consécration épiscopale VALIDE d’avant 1968?

A quoi servirait-il, en effet, de faire dire le VRAI rite de la messe par de FAUX prêtres ?

Serait-ce donc qu’après avoir obligé de VRAIS prêtres à dire une FAUSSE messe, l’on veuille désormais faire dire la messe du
VRAI rite par de FAUX prêtres ?

Serait-ce que l’on veuille «concilier» les VRAIS prêtres qui disent encore la VRAIE messe avec un clergé aussi INVALIDE que le
FAUX CLERGE ANGLICAN ?


Gaude, Maria Virgo, cunctas hæreses sola interemisti.
(Tractus Missæ Salve Sancta Parens)

Ce message peut être téléchargé au format PDF sur notre site http://www.virgo-maria.org/.

VIDEO 06 : M. le Curé Paul Schoonbroodt raconte les deux miracles eucharistiques de Steffeshausen dont il a été favorisé

Maître-autel de l’église paroissiale de Steffeshausen (Belgique) où ont eu lieu les deux miracles eucharistiques des 3 octobre et 12 décembre 1971, alors que l’abbé Schoonbroodt y disait la messe de Saint Pie V Le curé Paul Schoonbroodt

À gauche, la photo du maître-autel de l’église paroissiale de Steffeshausen (Belgique) où ont eu lieu les deux miracles eucharistiques des 3 octobre et 12 décembre 1971, alors que l’abbé Schoonbroodt y disait la messe de Saint Pie V. L’abbé est photographié (à droite) dans la nouvelle église du Sacré Cœur de Jésus qu’il a construite à Steffeshausen, suite à son « excommunication » et à son expulsion par le pseudo-« évêque » conciliaire, en 1988.

Dernier « excommunié » vivant des sacres d’Écône de 1988, le Curé Paul Schoonbroodt raconte comment des hosties consacrées qu’il allait distribuer aux fidèles sont apparues marquées sur leurs bords d’une tâche de sang frais, ainsi que plus tard la grande hostie à l’autel.

Lors de sa déclaration solennelle du 17 octobre 2011, en la fête de Sainte Marguerite-Marie Alacoque, voyante des apparitions du Sacré Cœur à Paray-Le-Monial, M. le Curé Paul Schoonbroodt a annoncé sa prochaine révélation des miracles eucharistiques dont il a été témoin. Nous y sommes.

 
Voir la vidéo sur YouTube (version française) : http://www.youtube.com/watch?v=Sb3ukmzba1w
 

Télécharger la ‘Vidéo légère’ [640x360] : http://virgo-maria.org/videosSch/201107_ab-PS-vid06s1.f4v (126Mo)

Télécharger la ‘Vidéo en haute définition’ [1920x1080] : http://virgo-maria.org/videosSch/201107_ab-PS-vid06h1.f4v (1.27Go)

VIDEO-06 – En 1971, juste après son installation comme curé dans sa paroisse de Steffeshausen, Monsieur le Curé Schoonbroodt est favorisé d'un double miracle eucharistique. Dernier « excommunié » vivant des sacres de 1988, M. le Curé Paul Schoonbroodt raconte son installation dans son église paroissiale en 1971 en Belgique à Steffeshausen, puis le double miracle eucharistique des 3 octobre et 12 décembre 1971, qui, quarante ans avant sa révélation publique, le conforte désormais dans son combat pour la préservation du Sacerdoce catholique sacramentellement valide et contre la généralisation d'un faux clergé invalide dans l'église Conciliaire depuis 1969, suite à l'abandon total le 18 juin 1968 du rite de consécration épiscopale de rite latin deux fois millénaire de l'Église suite à la Réforme liturgique issue de Vatican II. Steffeshausen (Belgique), octobre 2011

Vidéo sur YouTube (version anglaise)

 
See the video on YouTube (English version) : http://www.youtube.com/watch?v=pdCi2-urbN8
 

Download the ‘small Video’ [640x360] : http://virgo-maria.org/videosSch/201110_ab-PS-vid06s_EN.f4v (67.4Mb)

Download the ‘HD Video’ [1920x1080] : http://virgo-maria.org/videosSch/201110_ab-PS-vid06h_EN.f4v (695Mb)

VIDEO-06 – In 1971, just after his installation as parish priest in Steffeshausen, Father Schoonbroodt was « favoured » with a double Eucharistic miracle.

Last « excommunicated » priest still alive (after the 1988 consecrations), Father Schoonbroodt relates his installation in his parish church of Steffeshausen (Belgium) in 1971 and the double Eucharistic miracle of 3d October and 12th December 1971. These miraculous events – which took place fourty years before being publicly disclosed – confirms him in his fight for the preservation of the sacramentally valid Catholic Priesthood and against the generalization of a false and invalid clergy in the Newchurch since 1969, following the total relinquishment on the 18th of June 1968 of the two thousand-year old Latin rite of Episcopal consecration due to the reforms stemming of Vatican II. Steffeshausen (Belgium), October 2011-10-30

Commentaire et présentation des miracles de Steffeshausen

À 78 ans, l’abbé Schoonbroodt a décidé de se faire enregistrer et de communiquer par le moyen de la vidéo sur Internet les faits marquants de son combat de prêtre catholique pour la défense du Sacerdoce sacrificiel catholique sacramentellement valide, aujourd’hui en voie de disparition rapide, et de la Foi catholique.

Les faits miraculeux sont exposés ci-dessous.

Ajoutons ces précisions données par Mr le Curé Schoonbroodt après son témoignage devant la caméra :

Les hosties marquées d’une tâche de sang étaient au nombre de 8 à 10, et 5 à 7 d’entre elles furent distribuées au banc de communion, il resta environ 3 non distribuées.

Dans le ciboire, au moment de la distribution au banc de communion, ces hosties tâchées de sang étaient disposées au-dessus des autres, à la surface du ciboire.

La tâche de sang sur l’hostie se présentait comme un saignement, du sang vraiment frais, comme si une goutte de sang était tombée. La tâche était fixée dans l’hostie, elle ne se déplaçait pas sur l'hostie. Elle était d’une taille d’environ 3 mm. Chaque tâche de sang présentait le même aspect sur chacune des hosties. Elle était très visible, cela ne pouvait en aucun cas provenir de la boulangerie des hosties. La tâche de sang restait immobile, à la circonférence de l’hostie, et apparaissant comme une marque dans la texture de l'hostie. Après six mois de présence dans le tabernacle, ces hosties n’avaient pas changées, la tâche de sang paraissait toujours aussi fraîche.

Sur la grande hostie, le 12 décembre 1971, la tâche de sang était de même taille, tout-à-fait identique à celle qui apparaissait sur chacune des petites hosties.

Plusieurs prêtres, invités par Mr le Curé Schoonbroodt à venir constater le miracle se sont succédés à des dates différentes et ont posé le même constat.

L’un de ces prêtres qui ont constaté le miracle, était versé dans la connaissance des phénomènes mystiques, par ailleurs il suivait de près la réaction contre les nouvelles réformes issues de Vatican II, il lisait la revue « Itinéraires ». Il a déclaré à Mr le Curé Schoonbroodt que phénomène était une approbation du Ciel, pour l’action qu’il menait.

Au moment où ces miracles se sont produits, Mr le Curé Schoonbroodt avait déjà presque tout ramené à la Tradition dans sa paroisse.

Mr le Curé Schoonbroodt ne verse pas dans le mysticisme, car, conformément à l’enseignement qu’il a reçu au séminaire, il a toujours manifesté une méfiance à l’égard des phénomènes extraordinaires, suivant en cela les conseils de Saint Jean de La Croix

Voyons quelques réflexions qu’il y a lieu de faire sur les miracles eucharistiques de M. le curé Schoonbroodt :

1.    Les miracles eucharistiques sont très rares. Les éditions de Guibert ont édité en 2009 un très beau livre sur Les miracles eucharistiques dans le monde[1]. Il y aurait beaucoup à dire sur ce livre (en particulier sur un pseudo-miracle conciliaire), nous y reviendrons. Sont cités une centaine de miracles concernant directement les saintes hosties. De 595 à notre époque (mais un seul cas depuis Vatican II en Inde et qui est très douteux), ils eurent lieu dans tous les pays du monde.

2.    Dieu en est l’auteur et Lui seul.

3.    Il a certainement une raison très spéciale pour procéder à ces deux miracles à cette date là, en choisissant cette réalité du sacrifice eucharistique et en choisissant Mr le curé Schoonbroodt comme témoin.

4.    Le témoin direct (ici M. le curé Schoonbroodt) s’est donc posé les questions : pourquoi ici, pourquoi à cette date, pourquoi moi ?

5.    Ces deux miracles fait par Dieu, pour Sa plus grande gloire, sont très importants. M. le curé en a été bouleversé.

6.    Ils n’auraient pas dû être cachés. Ils l’ont été. Pourquoi ?

7.    Troisième miracle : ils sont connus par un canal très étonnant, au grand étonnement de M. le curé, 40 ans après, lui qui était persuadé que personne n’était au courant, et il décide alors de les rendre publics.

8.    À chacune de ses messes, depuis 40 ans, M. le curé, pendant chaque consécration, a repensé à ces miracles, adorant la divinité avec un amour humble et intense.

9.    Mais pourquoi ces 40 ans de silence ? Pourquoi aujourd’hui ? Comment doit être comprise la signification surnaturelle de ce miracle pour notre époque ?

10.  Ce fait miraculeux n'appartient plus à M. le curé Schoonbroodt ; il appartient désormais à la Chrétienté parce qu’il lui est aujourd’hui singulièrement nécessaire.

Les détails des circonstances prouvent que Dieu a choisi M. le curé Schoonbroodt, il y a 40 ans, pour lui prouver qu’il avait eu raison de ne rien changer et de rester fidèle à tout ce que la sainte Église avait toujours cru et toujours fait ; aujourd’hui, après 40 ans de fidélité et de profonde humilité, pour lui assurer que son combat pour la croisade du sacerdoce est bien LE COMBAT voulu par Dieu.

Mr le Curé Schoonbroodt a toujours appliqué cette consigne qu’a donné l’abbé Vérité, comme son testament : « restez fidèle ! ». Mr le Curé Schoonbroodt n’a jamais changé, jamais cherché à négocier la Foi. Il en a payé le prix et a préféré subir l’adversité et l’isolement que de chercher une reconnaissance de la part des ennemis de l’Église.

Ad majorem Dei gloriam

Début du verbatim

Voici le verbatim des propos tenus par Monsieur l’abbé Schoonbroodt dans la vidéo 06. Le récit des deux miracles est encadré :

« Pendant le temps que j’étais administrateur paroissial, l’évêché m’avait offert le choix : soit de continuer comme professeur, soit d’abandonner le professorat pour être curé de paroisse. Évidemment, comme je suis devenu prêtre pour le ministère paroissial, j’ai abandonné d’être professeur, et on a fixé alors le jour de l’installation comme curé.

Et c’était le 8 août 1971, c’est-à-dire aux premières vêpres de la fête de Saint Jean-Marie Vianney, le Saint-Curé d’Ars.

Le Doyen m’avait offert deux possibilités pour cette installation : soit de faire un Salut traditionnel, soit de faire une concélébration. J’ai refusé immédiatement la concélébration.

Alors, pendant le Salut solennel, je prenais possession ; j’allais au confessionnal ; je montais en Chaire de Vérité ; je me suis rendu au baptistère ; on m’a donné les clefs de l’église pour ouvrir et fermer les portes de l’église.

Et alors, il m’a demandé : « sous qu’elle forme ? » « Soit sous forme de concélébration, soit sous la forme traditionnelle d’un Salut avec les cérémonies correspondantes. »

Alors j’ai dit : « Pas de concélébration ! c’est plutôt un Salut que je souhaite. »

Et pendant ce Salut, j’ai commencé par réciter le Credo du Concile de Trente, et il a arrêté ça assez vite, et puis il m’a conduit – n’est-ce-pas –, à la porte de l’église donc je vais ouvrir et fermer la porte de l’église. Il m’a conduit au baptistère, parce qu’il est du devoir du curé de baptiser. Et puis il m’a conduit au confessionnal, pour démontrer par-là que j’ai le pouvoir d’entendre les confessions. Et il est allé en Chaire de Vérité avec moi, donc, et puis à l’autel, donc toutes les fonctions d’un curé.

Suite à cela, il est monté en Chaire de Vérité et il a commencé une allocution très étonnante où il revenait sur “un fait historique” où « on affirme que les premiers chrétiens recevaient la Communion sur la main » !

Je regarde ; je suis étonné, et je n’ai pas laissé passer cela ! parce qu’après c’est mon tour. Et j’ai pris exactement le contre-pied de ce qu’il disait en disant que « pour le ministère paroissial, je m’appuyais sur Saint-Pie X, concernant l’eucharistie, le chant liturgique, le catéchisme » et que donc, « il y avait lieu de célébrer la Messe comme autrefois » et puis « d’avoir une dévotion eucharistique », donc « recevoir la Communion à genoux et sur la langue ». Et de plus, donc, le catéchisme, l’enseignement des vérités du catéchisme aux enfants. Et puis aussi la dévotion spéciale au Sacré-Cœur de Jésus, qui a très bien pris dans la paroisse car ça n’existait pas.

Et, normalement, le Doyen aurait dû me destituer de nouveau parce que je prenais exactement le contre-pied de ce que lui avait dit avant cela. Mais il ne l’a pas fait !

C’était l’époque aussi où on s’efforçait de mettre un prêtre dans chacune des paroisses ; c’était encore possible quoi que difficile. Et donc, ils étaient contents qu’ils aient pu nommer un curé ici. Et puis ils pensaient de toutes façons : “ il est relégué près de la frontière allemande, à la campagne, il ne pourra pas faire grand tort ”. Ce qui a été démenti évidemment, par les événements – par la Sainte Providence –, parce que trois, quatre ans après, la paroisse était déjà connue et c’était les fidèles de l’extérieur qui commençaient à venir pour suivre la vrai Messe.

Les gens étaient contents parce que jamais ils n’avaient eu un curé jeune – je n’avais que 38 ans à ce moment là ! 

Et puis la vie paroissiale a commencé. J’ai introduit la dévotion au Sacré-Cœur de Jésus – c’était un de mes objectifs –, cela n’existait pas ici. Alors, tous les mois, je faisais une Messe du soir suivie d’une Heure Sainte dans l’église voisine à Auel – qui fait partie de la paroisse. Et puis, le premier vendredi, Messe du soir et Adoration pour le 1er vendredi du mois. Cette dévotion a beaucoup plu aux fidèles et jusqu’à ce jour, il y a toujours un bon nombre de fidèles qui assiste à cette cérémonie.

Le premier miracle eucharistique : église de Steffeshausen, diocèse de Liège, Belgique, le DIMANCHE 03 octobre 1971 EN LA FÊTE DU TRES SAINT ROSAIRE

Le 3 octobre 1971, il y avait la Grand’Messe, la fête du Saint-Rosaire ; c’est-à-dire la Grand’Messe de la fête du Saint-Rosaire doit être célébrée au 1er dimanche [d’octobre]. Et je me dis : la récitation du chapelet est importante, et puis tout le contexte.

J’avais donc fait un sermon enthousiaste concernant la dévotion du chapelet, du Rosaire. Et puis la Messe a continué et au moment de la Communion, je distribue les saintes Hosties, et à un moment donné, je m’aperçois que je distribuais des hosties qui avaient une pointe de sang – donc les petites hosties – sur le bord. Alors, j’arrête de distribuer ces hosties là. Et je me dis : je vais quand même conserver les autres ! Et c’était vraiment du sang frais.

Alors, j’étais un peu étonné de cela et je me dis : c’est peut-être une faveur, mais pourquoi en parler ? Je n’en ai pas parlé ici.

Mais ensuite, j’ai invité des prêtres amis – qui étaient plutôt pour la Tradition –, pour qu’ils constatent le fait.

Alors, il y a un de ces prêtres qui m’avait dit : « Qu’elle peut-être la signification de ces hosties où il y a du sang ? » Alors il m’a dit : « C’est une approbation du Ciel pour ce que vous faites ! » Car déjà, j’étais quand même dans l’opposition à ce qu’il se faisait aux alentours et donc, c’était comme une approbation du Ciel pour continuer la Sainte-Messe et le rite de la Communion et tout l’enseignement comme autrefois.

J’en ai parlé à mon confesseur. Il m’a dit : « Oui, il faut pas ébruiter l’affaire ! » Et puis il me demandait régulièrement : « Est-ce que vous avez toujours ces hosties avec du sang ? » Et je les ai conservées pendant 6 mois, mais c’était toujours, la pointe de sang était toujours aussi fraîche que le premier jour.

Alors finalement, par obéissance, j’ai consommé ces hosties.

Le second miracle eucharistique : église de Steffeshausen, diocèse de Liège, Belgique, le DIMANCHE 12 décembre 1971, LE DIMANCHE « gaudete »

Alors, quelques temps après – c’était le 12 décembre 1971 –, c’était le dimanche “Gaudete” [2], j’ai fait la Consécration et même chose, je m’aperçois au moment de la communion du prêtre, que là aussi, il y avait une pointe de sang au bord de l’hostie, mais comme c’était l’Hostie de la Messe, il me fallait bien la consommer !

Alors c’était une consolation. Je n’avais pas besoin de ce miracle pour être conforté dans la Foi ! car j’ai toujours eu une foi profonde et une dévotion à la Sainte Eucharistie.

Rétrospectivement, je dois quand même dire que cette faveur – ce miraclea une signification plus grande que celle que j’ai perçu à ce moment là, à cause de la dégringolade de l’Église ; à cause de la destruction de la Sainte-Messe et du sacerdoce.

Maintenant, il y a 40 ans depuis le miracle eucharistique dont je vois beaucoup mieux la portée actuellement – Donc la Providence a pris les devantpour confirmer mes convictions concernant la Sainte-Messe. La Sainte-Messe de Saint-Pie V qui est valide ! Et par contre la “messe” de Paul VI, je la considère, je l’ai considérée dès le départ comme invalide. Je ne l’ai jamais “célébrée” d’ailleurs ; je n’ai jamais donné la Communion dans la main. Et en rapport avec cela, le sacerdoce, à commencer par le sacre, la consécration épiscopale.

J’avais tout de suite, quand le successeur de Mgr van Zuylen – l’évêque qui m’a ordonné et qui était évêque jusqu’en 1986 –, et bien j’ai considéré que son successeur n’était pas vraiment évêque, parce qu’il a été “sacré” – soi-disant – dans le nouveau rite. Et de plus, c’était quelqu’un qui était réputé – parmi les étudiants en théologie, n’est-ce pas – d’être un moderniste à la pointe ! Ils évitaient même d’assister à sa “messe”, à l’université, parce qu’ils voyaient les déviations – les hérésies – et que, il ne croyait à la Présence réelle.

Alors, comme je le disais tout à l’heure, il y a 40 ans maintenant depuis ce miracle dont j’ai été favorisé mais qui prend une dimension plus grande vu les événements actuels.

C’est que – n’est-ce pas –, même dans la Tradition maintenant il y a, par exemple, la Fraternité Saint-Pie X qui cherche – depuis des années d’ailleurs –, qui cherche a être reconnue par une Rome qui a démoli l’Église, qui a démoli les sacrements et entre autre n’ont plus d’évêques valides.

Ratzinger, par exemple, est un simple prêtre ; il n’est pas évêque. Wojtyla, lui était encore évêque ! il a été sacré évêque en 1958. Alors, au prochain tour, on risque d’avoir un laïc comme successeur de Ratzinger !

Donc nous voyons la désolation de la situation. Donc l’Église – qui est l’Église catholique – est par terre, est tout à fait démolie, et il est grand temps qu’on prenne des initiatives justes, et courageuses, pour maintenir la Sainte Église. Non seulement au point de vue de la fidélité à la Foi, mais aussi pour la continuation du sacerdoce et des évêques valides, et des prêtres valides.

Disons, pour le 1er miracle eucharistique – puisqu’il y en a eu deux –, il est évident que les hosties qui ont été consacréesles hosties pour les fidèles, ont été consacrées à la Consécration de la Messe, et bien donc, ce miracle a eu lieu à ce moment là ; je l’ai constaté seulement au moment de distribuer la Communion.

Alors, le deuxième miraclecelui du 12 décembre, c’est une manifestation donc de cette tâche de sang à la grande Hostie. Alors on peut établir un lien entre le Saint Sacrifice – la Messe qui s’accomplit – au moment de la Consécration. Mais aussi un lien avec la Communion puisque c’est le fruit du sacrifice.

Et les sacrements en fait, distribuent les grâces qui ont été acquises au prix du Sang de Notre Seigneur Rédempteur. » Abbé Paul Schoonbroodt

Fin du verbatim

L’abbé Schoonbroodt est actuellement le seul prêtre catholique dans le monde poursuivi devant les tribunaux, au pénal, par la FSSPX.

L’abbé Schoonbroodt a su ce qu’il en coûtait de contester la validité des nouveaux rites !

Pourquoi Mgr Fellay et l’abbé Schmidberger attaquent-ils au pénal un prêtre ami de Mgr Lefebvre, et déjà « excommunié » par l’église Conciliaire ?

Pourquoi Mgr Fellay, et l’abbé Schmidberger, veulent-ils à tout prix empêcher la diffusion de la version intégrale non expurgée des sermons publics de Mgr Lefebvre, l’archevêque qui par son geste audacieux et salutaire des sacres, a scellé le sort d’exclusion de M le Curé Schoonbroodt par son « évêque » ?

Car Mgr Fellay, et l’abbé Schmidberger, reconnaissent la validité « probable » (concept hérétique plusieurs fois condamné par plusieurs papes) du clergé conciliaire, et veulent signer, ou approuver par consentement tacite, un ralliement avec la Rome apostate, au clergé invalide, pour un « ordinariat canonique », et que l’abbé Schoonbroodt, du fait de son amitié avec Mgr Lefebvre, a fait connaître les fermes déclarations du consécrateur de Mgr Fellay contre la Rome conciliaire.

Mgr Fellay, et son Mentor l’abbé Schmidberger, se refusent violemment à toute discussion sur la question de l’invalidité, pourtant publiquement démontrée certaine et radicale, du nouveau rite conciliaire de consécration épiscopale du 18 juin 1968 (cf. les 12 plaquettes Rore Sanctifica des démonstrations complètes et définitives du CIRS publiées par les éditions Saint Remi et mises en ligne sur le site http://www.rore-sanctifica.org/) et, dans leur logique félonne de ralliement, leur zèle pour leurs nouveaux maîtres conciliaires apostats, a dépassé en obscénité et en impudence, tout ce que la hiérarchie conciliaire a osé faire subir à M. le Curé Schoonbroodt.

Avant même que la justice des hommes se soit prononcée, la justice de Dieu a déjà jugé M. le Curé Paul Schoonbroodt et lui a donné deux confirmations miraculeuses de l’approbation divine pour le combat qu’il allait mener pendant plus de 40 ans pour la préservation du sacerdoce sacrificiel catholique valide.

Le jour du premier miracle, le 3 octobre 1971, Mr le Curé Schoonbroodt prononça un sermon vibrant sur le Rosaire, car il s’agissait de la solennité du Rosaire. Ce fut ce même jour de la solennité du Rosaire que Dieu accorda un miracle désignant le pouvoir sacrificiel du Sacerdoce catholique à celui qui :

et 40 ans plus tard être poursuivi au pénal par celui-là même, Mgr Fellay, qui organise des ‘miracles’ en complicité avec Rome, car il est celui

Le « truqueur mîtré » qui a organisé lui-même ses propres miracles du Rosaire et le fait savoir à la planète entière, tout en étouffant toute contestation sur le Sacerdoce, vient d’être confondu par Dieu qui met en avant, 40 ans à l’avance, Mr le Curé Schoonbroodt qui reçoit un véritable miracle en la solennité du Saint Rosaire et, par humilité, qui l’a conservé secret pendant 40 ans.

Le faux dévôt marial Mgr Fellay multiplie les appels calculés aux croisades sacrilèges prétendument miraculeuses du Rosaire pour favoriser le ralliement de la FSSPX à l’église Conciliaire. Ces prétendus « miracles » du Motu Proprio ou du retrait des « excommunications » ne sont en fait que des fabrications des loges et des prélats conciliaires (cf. les nombreux messages VM sur le sujet).

Dieu n’y est en rien mêlé. Par contre Dieu a agi à Steffeshausen en 1971, en la solennité du Rosaire, 40 ans avant ces évènements, et par des miracles hautement symboliques qui désignent le Sacerdoce sacrificiel valide comme le véritable enjeu des temps que nous vivons.

Faut-il désormais chercher un désaveu divin plus éclatant de l’action menée par Mgr Fellay[3] (et l’abbé Schmidberger[4]) pour persécuter M. le Curé Paul Schoonbroodt, et par là même pour ruiner l’œuvre de Mgr Lefebvre ?

À suivre… (d’autres interventions vont être communiquées)

Continuons le bon combat

La Rédaction de Virgo-Maria

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VIDEO-06 – In 1971, just after his installation as parish priest in Steffeshausen, Father Schoonbroodt was « favoured » with a double Eucharistic miracle.

Last « excommunicated » priest still alive (after the 1988 consecrations), Father Schoonbroodt relates his installation in his parish church of Steffeshausen (Belgium) in 1971 and the double Eucharistic miracle of 3d October and 12th December 1971. These miraculous events – which took place fourty years before being publicly disclosed – confirms him in his fight for the preservation of the sacramentally valid Catholic Priesthood and against the generalization of a false and invalid clergy in the Newchurch since 1969, following the total relinquishment on the 18th of June 1968 of the two thousand-year old Latin rite of Episcopal consecration due to the reforms stemming of Vatican II. Steffeshausen (Belgium), October 2011-10-30

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[1] http://www.amazon.fr/miracles-eucharistiques-dans-monde/dp/2755403233

[2] Le troisième dimanche de l'Avent

[3] « Le Truqueur mitré », ainsi que l’a naguère qualifié publiquement et avec justesse M. l’abbé Juan Carlo Ceriani (r-FSSPX, cf plusieurs messages VM sur le sujet)

[4] « La taupe n°2 » infiltrée dès 1972 auprès de Mgr Lefebvre ausein de la FSSPX (cf. les nombreux messages VM documentés sur ce thème).