samedi 7 juillet 2007

Mgr Williamson démasqué par un bloggeur le 6 juillet 2007

Cet évêque entré au séminaire d'Ecône la même année que l'abbé Schmidberger est bien un agent dissimulé de la Rome conciliaire au sein de la FSSPX. Sa lettre d'exultation de 1984 devant le motu proprio de Wojtyla-Jean-Paul II alors le trahit. Remise sous ses yeux le 6 juillet 2007, par un bloggeur qui lui ressort sa propre lettre enthousiaste de 1984, Mgr Williamson paraît très embarrassé.


http://dinoscopus.blogspot.com/2007/07/motu-proprio.html

Stephen : « Votre excellence, vous devriez en savoir plus ! « Je lui lis quelques lignes d'une lettre qu'il écrivit en 1984 :


Mgr Williamson : «Le décret de Vatican du 3 octobre, revu le 15 octobre, commençant à libérer le rite de la messe Tridentine, est surement l'une des meilleures nouvelles que nous ayons eu depuis longtemps… En supposant qu'il (le pape) souhaite sincèrement libérer la tradition – quelle pourrait être la prochaine étape que nous devrions normalement attendre de sa part, pour entreprendre le changement d'orientation d'une organisation aussi imposante que l'Eglise catholique ? Il y a des signes qui montrent que ce décret représente l'arrêt de la montée de la marée, la rupture du long blockage du verrou anti-Tridentin… Il montre la libération de la Tradition en provenance de la tête même de l'Eglise. L'amour croît et espère tout, et elle croît et espère que le saint Père gouverne enfin, comme nous attendions depuis si longtemps qu'il gouverne… Par conséquent nous pouvons nous attendre à ce que le diable combatte bec et ongle contre ce décret, dans le silence, le ridicule, et l'inertie»


Stephen : « Le 1er novembre 1984, c'est la date de votre lettre, votre Excellence ! De ce que j'ai entendu de ce que vous disiez cet après-midi là, je pourrais effacer cette date et inscrire à la place, le 6 juillet 2007 !


Mgr Williamson : « Mais Stephen, c'était il y a de 23 ans, et les circonstances étaient très différentes. Les circonstances sont devenus de plus en plus mauvaises !


Stephen : « Oui, mais pourquoi les circonstances seraient alors meilleures aujourd'hui ! Ainsi pourquoi se seraient-elles améliorées ? N'était-ce pas aussi un motu proprio pour Ecclesia Dei ?»